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Quand j’ai commencé à courir, je n’accordais guère d’importance à mon équipement : une paire de baskets, quelques tee-shirts bien souvent glanés sur les courses, et un ou deux shorts me suffisaient.

Alors inutile de vous dire que les vêtements de compression n’avaient pas leur place dans mon armoire de Beerunneuse de l’époque !

Mais quand on commence à prendre goût à la course à pied et qu’on se lance sur de plus longues distances comme des ultras, on se rend vite compte qu’il faut un équipement plus adapté à sa pratique, mêlant confort, technologie, esthétique et bien-être.

J’ai découvert la marque Skins lors d’un testing à Paris, au moment où j’ai lancé mon blog : j’en avais entendu parler, bien sûr, mais je n’avais jamais eu l’occasion d’acheter des vêtements ou d’en essayer.

Je n’étais pas non plus fan de la compression : la plupart des équipements que j’avais essayés – essentiellement des manchons et des chaussettes – avaient tendance à me gêner lors de mes sorties.

Plusieurs runners m’avaient parlé de Skins comme étant une marque haut de gamme dans le running, très technique, avec des prix assez élevés.

Si certains arguments avaient fait mouche, celui du budget m’avait un peu fait tiquer.

Curieuse, j’étais donc allée découvrir les produits au magasin Intersport de la rue de Rivoli : j’avais essayé le corsaire A400 qui m’avait particulièrement bluffée.

Depuis, je suis devenue une adepte de la marque : j’ai acheté sur les 20 kilomètres de Paris l’une des tenues DNAMIC, que j’ai énormément portée et postée, et dont j’ai pu éprouver le confort, la résistance et la technologie sur plusieurs de mes trails.

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Mais je guettais depuis quelque temps l’arrivée d’un nouveau modèle, le K-PROPRIUM, qui me semblait être une rolls de la compression.

Laissez-moi à présent vous expliquer mon excitation de Beerunneuse en recevant la semaine dernière ce petit bijou de compression…

Skins, une marque australienne ambitieuse

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Avant toute chose, il convient de remonter quelques années en arrière pour bien comprendre la philosophie de la marque…

Son histoire commence en 1996, alors qu’un skieur Australien se fixe un objectif ambitieux : mettre au point un équipement qui optimiserait les performances sportives tout en améliorant la récupération.

Qu’à cela ne tienne : déterminé, il s’entoure alors de scientifiques de la NASA et d’autres spécialistes pour concevoir, tester et perfectionner ses premiers collants SKINS.

Cinq années plus tard, ses équipements sont commercialisés sur le marché australien et ils sont approuvés scientifiquement !

Si au commencement les sportifs professionnels bénéficient de ces vêtements, ils sont très vite adoptés par les amateurs.

En forte croissance à l’international, la société Skins s’emploie à produire aujourd’hui des équipements innovants, toujours avec la même optique.

Mon test du K-Proprium

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Quand j’ai ouvert le paquet apporté par le facteur, j’ai eu l’impression de sortir un bijou de son écrin : je suis toujours surprise par la qualité de la matière des vêtements Skins.

Je l’ai immédiatement déplié et ai apprécié sa coupe et son coloris très raffinés. Certes, il est plus sobre que le modèle DNAMIC que j’avais acheté cet automne, mais j’apprécie ce côté classe.

Mais outre l’esthétique du modèle, ce qui saute immédiatement aux yeux, ce sont les bandes positionnées stratégiquement à divers endroits du collant : ne croyez pas qu’elles sont là uniquement pour faire joli !

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Skins ne laisse jamais rien au hasard…

Ce sont des Proprioceptive Power Bands ou PPB.

Bon, on rentre dans le côté un peu technique : « Mais quel est donc ce charabia ? » me direz-vous.

Il s’agit de bandes d’électrostimulation qui permettent de lutter contre la fatigue, de réduire les risques de se blesser et d’améliorer les performances en optimisant la proprioception, ou si vous préférez, la perception inconsciente des mouvements et de l’espace.

Pour essayer d’être claire et concise, quand nous faisons un effort prolongé, comme un trail long, nos muscles se fatiguent et cela réduit le soutien de nos articulations : nous ne contrôlons plus parfois efficacement nos mouvements, ce qui peut entraîner des blessures.

Associées à la technologie par Dynamic Gradient Compression de SKINS, ces bandes ralentissent l’apparition de la fatigue et permettent un effort intense prolongé.

Une promesse intéressante quand on se lance sur de longues distances !

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Mais revenons à nos collants : ce qui m’a toujours fait rire et parfois exaspérée quand j’ai essayé des vêtements de compression, c’est la difficulté à les mettre.

Le modèle K-PROPRIUM n’a pas dérogé à la règle : difficile de faire passer ses pieds au niveau du bas du collant ! Avez-vous remarqué combien on se sent énorme et boudinée au moment d’enfiler ce type de vêtements ?

Il est ensuite important de bien l’ajuster, afin d’éviter les gênes et autres petits plis disgracieux : des empiècements au niveau des genoux aident à mettre les bandes bien en place.

La ceinture ergonomique se positionne facilement. Il ne reste plus qu’à aller chausser ses baskets !

Si cet habillage vous semble fastidieux, je vous rassure, tout est question d’habitude. Au bout de la troisième fois, j’ai déjà pris le pli, mais il faut un peu de temps quand même – prévoir deux ou trois minutes.

En revanche, une fois enfilés, ces collants se transforment en véritable seconde peau !

Ils offrent une vraie liberté de mouvement ! Mais un autre point m’a semblé intéressant : je me suis sentie gainée avec, comme s’ils me procuraient un meilleur maintien,.

Je n’ai fait qu’une cinquantaine de kilomètres avec depuis la fin de la semaine, mais j’ai ressenti un certain confort et dynamisme : je me suis senti pousser des ailes et n’ai pas eu de courbatures.

Pour avoir déjà couru de longues distances avec d’autres modèles de la marque, je ne suis pas étonnée et m’attends à ne plus pouvoir me passer de ce petit bijou très bientôt.

Pour la petite anecdote, quand vous ôtez ce collant, vous avez l’impression d’avoir un calque à même la peau des bandes de proprioception.

Mon verdict sur le modèle K-PROPRIUM ?

J’ai hâte de le tester sur de plus longues sorties, afin de confirmer mes premières bonnes impressions : on est sur un vêtement de compression haut de gamme.

La qualité est au rendez-vous et justifie le prix assez élevé du produit – le seul bémol à noter : 180 euros. Certains me diront que c’est un luxe qui n’est pas à la portée de toutes les bourses, mais on est sur un produit de compression ayant bénéficié des techniques de recherche les plus pointues.

Par expérience, je sais aussi que les vêtements de la marque gardent leur tenue dans le temps, malgré les multiples lavages.

Pour vous aider à franchir le pas et vous offrir ce petit plaisir de posséder un vêtement de running exceptionnel, je vous propose de bénéficier d’un code de réduction de -30% que vous pouvez utiliser du lundi 8 Mai au 31 mai. Il suffit de taper le code suivant : BEERUNNEUSE-SKINS

Ce code est valable sur tous les produits du site SKINS, sauf ceux qui sont déjà remisés.
 

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